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Être sensible, c’est être en capacité de sentir.
Sentir, c’est être vivant.

Dans un monde où tout s’accélère, où l’information nous submerge et où les relations se numérisent, le mal-être se généralise : carences sensorielles, surcharge mentale et émotionnelle, burn-out en hausse. Face aux urgences écologiques et existentielles, de plus en plus de personnes ressentent le besoin de ralentir, de se recentrer et de renouer avec le vivant.

L’intention est de proposer un apprentissage sensoriel en mouvement, d’ouvrir des espaces-temps de création dédiés à la présence, à l’ici et maintenant. En réaction à la montée de l’intelligence artificielle et aux dégâts du numérique dans nos modes de vie, il s’agit de cultiver l’intelligence sensible et d’être corporellement irremplaçable.

"La prise de conscience par le sentir n'est pas un effort mais un accueil. Elle est immédiate, en dehors de toute pensée, de toute émotion, grâce à laquelle le système nerveux se détend, la tension cérébrale se relâche, l'intelligence se repose. En agissant ainsi on permet que s'établisse un contact intime de la personne avec la réalité telle qu'elle est. Ce lien est profond et désintéressé. On reçoit la réalité en témoin. On s'accueille soi-même sans jugement. Avec l'expérience, par ce vécu très intériorisé, on acquiert peu à peu une connaissance sensorielle."

— Hilde Peerboom, pédagogue corporelle et danseuse

Ressources
Cette recherche s’enracine dans une constellation de pratiques et de réflexions qui placent le corps au centre du rapport au monde.
Jacques Garros, psychomotricien, auteur notamment de Corporellement, met en avant l’éducation de la conscience corporelle, la respiration et la non-séparabilité du corps et de l’esprit.
Lisa Nelson, chorégraphe, improvisatrice et vidéaste qui explore depuis cinquante ans la relation entre le geste, la perception et l’observation à travers l’improvisation et sa pratique de la composition instantanée “Tuning Scores”. référence
João Fiadeiro, chorégraphe et chercheur, éclaire la démarche par sa pratique de la Real Time Composition, où l’observation du temps et du choix devient un geste artistique.
Robert Pacitti, artiste-performeur et directeur de la compagnie Pacitti Company qui a produit depuis les années 1990 de nombreuses œuvres interdisciplinaires mêlant performance, vidéo, son et recherche.
Catherine Contour, chorégraphe, relie art et transmission à travers des pratiques sensibles et créative à travers l'outil hypnotique. référence

Ces références croisent les champs de la psychomotricité, du corps-esprit, de l’improvisation, de la composition et de la chorégraphie. Ensemble, elles nourrissent notre approche : considérer le corps non seulement comme lieu d’expression, mais comme lieu de présence, de mémoire, de passage. L’art et le mouvement y deviennent des outils d’écoute, d’engagement et de transformation.

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